Emiko Sasaki
Avatar : Re-L Mayer de Ergo Proxy
Prénom : Emiko
Nom : Sasaki
Surnom : Blizzard
Age : 19 ans le 04 décembre 2020
Sexe : Feminin
Groupe : Adultes
Traits de caractère
Qualités ;
Aventureuse, partir à la découverte de l'inconnu, risquer de tout perdre pour une folie passagère, la demoiselle a toujours voulu repousser ses limites et n'accepte aucunement l'échec -
Passionnée par tout ce qu'elle entreprend, ce n'est pas la passion des sentiments qui la caractérise -
Extravertie, Emi' a une facilité à s'exprimer et ne cache jamais qui elle est, peu importe que cela convienne ou non à la situation -
Imaginative, c'est une personne pleine de ressources -
Contrôle ses émotions, la tristesse ou la joie ne sont jamais vraiment très distinct dans le regard d'Emiko -
Ambitieuse, elle ne s'est jamais contenté de ce qu'elle avait, voulant toujours se surpasser pour avoir plus -
Honnête, en temps normal, mais si le danger le requiert, elle peut devenir impitoyable -
Énergique, sans cesse en mouvement, il lui est impossible de rester en place trop longtemps -
Sait s'adapter depuis qu'elle est gamine, même si l'arrivée du virus l'a chamboulé, elle a su reprendre rapidement ses esprits pour survivre dans ce nouveau monde.
Défauts ;
Impulsive, elle fonce tête baissée lorsque la situation le demande et même en général -
Possessive, elle déteste plus que tout devoir partager les choses qu'elle estime à elle seule que cela soit un objet ou une personne -
Surplus de confiance qui a tendance à la faire passer pour une personne orgueilleuse, alors qu'elle ne s'imagine pas meilleure que les autres, simplement, elle se fait confiance et est prête à tout pour survivre -
Machiavélique, cela lui est déjà arrivé de préparer des plans pour survivre en oubliant son intégrité et surtout son honnêteté -
Indépendante, déjà avant le virus elle pensait n'avoir besoin de rien ni personne -
Subjective, seul son avis à ses yeux est valable, elle a tendance à rejeter toutes les autres propositions qu'on lui propose, car elle ne les estime pas sienne et donc pas crédible -
Têtue, c'est même plus que cela, car même si vous arrivez à lui démontrer qu'elle a tord, elle n'en démordra pas pour autant -
Explosive, la colère est le seul sentiment qu'elle ne peut pas contrôler -
Accepte mal l'autorité en revanche elle est très à l'aise lorsque c'est elle qui donne les directives -
Lunatique en ce qui concerne les sentiments.
J'aime ; Le silence et paradoxalement les bruits de la circulation, l'hiver est ma saison préférée, je ne me le suis jamais avoué, mais le danger m'attire, la lune est toujours hypnotisant, les sports de combat tout particulièrement le Krav-maga, la lecture des oeuvres classiques d'horreur, la glace au citron et j'adore les chiens.
Je déteste ; Les enfants sont devenus pour moi des vermines à éviter, la hiérarchie je ne la respecte pas, dormir c'est une perte de temps, le chocolat blanc c'est à vomir, les sports collectifs avec un ballon c'est ridicule et si j'ai peur d'une chose c'est du feu.
Histoire
SOUVENIRS D'ENFANCE
Cette nuit là, la neige avait arrêté de tomber sur Doreodan lorsqu'Emiko vint au monde. Première enfant d'un couple qui venait à peine de se marier, elle restera enfant unique au sein d'une famille où personne n'exprimait ses sentiments. Dans ses plus jeunes années, sa mère pouvait se montrer très tendre avec son enfant, mais jamais elle ne lui a dit les mots que la petite fille attendait de celle qu'elle prenait autrefois pour modèle. La famille Sasaki ne resta pas très longtemps en ville, Emiko avait à peine deux ans lorsqu'elle voyagea pour la première fois. Elle n'en a aucun souvenir, elle était trop jeune et n'y ait pas resté suffisamment longtemps.
Son père était un militaire amené à prêter main forte à différents camps militaire à travers le monde. Ainsi la petite demoiselle n'a pas vraiment connu les pays où elle a séjourné, toutes ses journées elle les passa au coeur des casernes. Elles étaient toutes plus ou moins très ressemblantes, aussi grande qu'une petite ville avec tous les commerces et activités que l'on peut souhaiter. Emiko aimait cette vie, mais ce n'était très certainement que parce qu'elle n'avait connu que cela, car lorsque sa mère tomba malade, tout changea. Elle avait neuf ans quand elle retourna à Doreadan avec sa mère.
Après cela, elle ne vit plus qu'en de rares occasions son père. Quant à sa mère, sa santé se rétablit, mais elle ne sortait quasiment plus et pouvait rester des heures entières dans sa chambre, assise dans son fauteuil près de la fenêtre à regarder le ciel. Emiko quant à elle eut du mal à s'adapter dans cette ville et surtout son école. Lentement, elle commença par détester simplement l'armée qui lui avait volé sa famille, puis ce fut au tour de l'école, ses camarades et puis son père et enfin sa mère. À l'âge de quinze ans, Emiko en voulut au monde entier quand on sonna chez elle un dimanche pour lui annoncer la mort de son père.
DÉCEMBRE 2020
La demoiselle venait tout juste de fêter ses dix neuf ans lorsque sa mère attrapa une grippe en apparence banale. Emiko n'était pas là au début. Elle était partie le lendemain de son anniversaire pour passer un week-end qui s'éternisa en deux semaines de vacances pendant lesquels elle passa tout son temps dans la neige avec la sensation d'être libre. Lorsqu'elle rentra à la maison familiale, sa mère était alitée à cause d'une grippe d'après les médecins. Elle mourut trois jours après le retour d'Emiko qui se retrouva dans famille dans une grande maison qu'elle détestait. Au début, elle ne remarqua rien, les gens tombaient malades, mais c'était normal, on était en plein hiver.
La demoiselle était encore en plein deuil, ne voyant plus ses amis, elle abandonna même ses études pour se trouver un job à temps partiel. Comme pour se punir, elle s'enferma dans une routine monotone qui ne lui ressemblait pas.
L’ANNÉE DU GRAND BOULEVERSEMENT
Ne sortant de chez elle que pour se réapprovisionner et aller au travail ou à quelques séances de sport. Elle ne remarqua pas tout de suite que le monde était en train de changer. Elle ne voyait pas les endroits publics se vider peu à peu. Lorsque le printemps arriva et que le gouvernement assuma sa part de responsabilité et essaya de sauver de gens, Emiko ouvrit enfin les yeux. Tous mourraient autour d'elle et que faisait-elle ? Rien. Elle était seule et n'avait aucun proche à sauver, lorsque les vaccins échouèrent les uns après les autres, la demoiselle décida de partir. Quittant le domicile familiale et ne prévenant personne, elle sortit de la ville et alla se réfugier vers le littoral.
Deux semaines plus tard, c'était officiel. Le monde avait changé. Après avoir trouvé refuge dans une crypte de la plage pour se déconnecter de ce monde qui partait en vrille, Emiko avait du revenir vers la ville pour trouver de quoi taire sa faim. Elle fit cependant rapidement demi tour en découvrant des hordes de gamins prêts à zigouiller tous les adultes qu'ils voyaient. Elle n'arrive d'ailleurs pas depuis à se retirer de la tête, l'image de ce vieillard écrasé par un enfant conduisant une camionnette et s'acharnant sur le corps du malheureux. Depuis, Emiko a pu voir les conséquences du virus, elle préfère ainsi rester seule près de la plage, comme attendant que l'océan l'emporte.
Pourtant la demoiselle n'est pas suicidaire, sinon elle n'aurait pas fait demi-tour en voyant le chaos en ville. Elle a encore de l'espoir, que ce soit la rencontre d'une personne qui ne voudra pas la tuer ou simplement tomber sur un kit-kat, elle n'a pas encore dit son dernier mot à la vie.
Behind the screen
Oy ! Moi c'est Lili, une étudiante de 22 ans dans pas longtemps. Je me suis enfin arrêtée chez vous après vous avoir suivi à l'état de projet et pendant vos premiers mois