Camille Geneste
Avatar : Princesse Bonbon - Adventure Time.
Prénom : Camille
Nom : Geneste
Surnom : Old cat ou Cam
Age : 14 ans
Sexe : Féminin
Groupe : Solitaires
Sac à dos : Deux jeans, deux sweetshirt et un t-shirt, une camisole, une deuxième pair de bottes de marche, une casquette des RedWings, des sous-vêtements bien roulés, un litre d'eau, un sac de dattes et un briquet.
Traits de caractère
Timide, Triste, Solitaire, Passionnée, Spontanée, Attentive, Intelligente / doué, Serviable, Calme / Détendu, Débrouillarde, Orgeuilleuse, Indifférente, Naïve
Ce qu'elle aime : Les shortcake aux fraises, la crème glacé, les films d'horreur, être seule, passer de longue heure à regarder les paysages, ses cours d'anglais.
Ce qu'elle n'aime pas : Avoir froid, avoir chaud, être sale, l'alcool et les alcoolique, les armes à feux, qu'on se moque d'elle, les mecs qui croient que tu es une fille facile.
PHYSIQUE
Elle ne mesure en gros que 5 pieds 6 pouces. Ce qui est quand même plus que convenable du point de vue de la moyenne des filles de son âge. Côter forme, elle n'est pas en reste. Même si ses muscles ne paraissent peu, elle est athlétique. Mais son visage semble toujours impassible. Exampt d'émotion.
Histoire
Camille n'a pas eu la vie facile. Depuis toute petite, elle fut livrée à elle-même, dès le moment où elle sut se préparer un sandwich seul.
Son père, un alcoolique fini, qui serait mort d'une cirrhose si la grippe ne l'avait pas emporté. Saoul du matin jusqu'au soir et violent dès l'instant où il n'avait plus sa bière entre les mains. Deviner sur qui il frappait ? Camille savait que lorsque le moment approchait, qu'elle devait s'enfermer dans sa chambre et ne plus faire un seul bruit. Elle savait qu'avec un peu de chance, il l'oublierait et irait s'acheter une autre caisse de 24 au dépanneur du coin. Ou bien qu'il tombe endormit devant sa porte de chambre, après y avoir frappé durant plus d'une heure, en essayant de la convaincre de l'ouvrir, en vain.
Sa mère, une dépressive chronique, aillant séjourner tellement de fois dans des Hospital, que Camille ne peut même plus les compter. Des séjours allant d'une semaine à 4 mois, voir plus selon l'état de sa psychose. Lorsqu'enfin, elle revenait à la maison, c'est à peine si elle pouvait se rappeler de sa propre fille. Et même elle ne connaissait pas vraiment sa mère.
On aurait pour dire que les services sociaux de protection de l'enfance auraient dû intervenir. Beaucoup diront, sans le savoir, que ses derniers ne sont qu'une bande d'incompétents et d'incompétentes pour avoir laissé une fillette dans cette situation. Mais comme il est écrit plus loin, ils ne savent pas qu'ils y sont allé, et même plusieurs fois. Toujours est-il que, "cette famille parait normal et il n'y a pas de raison d'agir" apparaissait très souvent sur les rapports des visites. Faut dire qu'ils avaient de bons arguments pour les embobiner.
L'école était-elle moins pire que la maison ? Bof, entre les moqueries de ses camarades qui trouvaient ça très drôle de martyriser une fille qui se laissait faire. Et les manipulations de ses mêmes camarades, qui ne cessaient de lui demander son matériel sans lui rendre (déjà que Camille ne pouvait pas en racheter pour une raison parentale), parce qu'elle est vraiment gentille, serviable et que malgré ses problèmes, elle n'a jamais su dire non. Bah... Un peu oui. Heureusement pour elle, qu'il y avait son gentil, attentionné, aimable et beau professeur d'Anglais pour lui occuper ses pensées. Vous connaissez ses amours d'adolescent envers leur prof, qui d'habitude n'aboutissent jamais, car soit le dit prof est marié ou qu'il n'est pas intéressé à fréquenter une de ses jeunes élèves de 14 ans. Cette fois-ci, c'était vrai, un amour réciproque entre cette même jeune fille de 14 et son beau grand prof de 35. Des moments de pure joie (malsain, mais de joie quand même), créer entre ses deux tourtereaux, qui avaient le don de lui faire momentanément oublier sa vie de merde. Et c'est dans ses moments, où tout va trop bien, qu'une ombre vint planer au-dessus d'eux. C'était cette fameuse grippe mortelle dont tous les médias (restant) parlaient et qui n'épargnait personne. Elle se mit aussitôt à craindre pour sa vie et celle de son amoureux.
Cette grippe frappait vite, trop vite au goût de Camille, qui restait impuissante devant cette hécatombe. D'abord moururent ses deux parents, qu'elle ne regrettait pas vraiment. Tout d'abord, son père, qui ne mourra pas de celle-ci, mais bien d'une crise cardiaque. Quelle ironie quand même. La dernière personne qu'il vit est sa fille le fixant sous le chambranle de la porte de la chambre parental. Un visage totalement blanc d'émotion compatissante. Sa mère, quant à elle, rendait l'âme la tête la première dans la toilette et qui plus est, dans le vomi qu'elle venait tout juste de faire dans celle-ci. Pour la première fois, Camille eut un sourire de satisfaction sur son visage. Il n'était pas question de rester une seule seconde de plus dans sa maison. Maintenant orpheline, la première chose qu'elle fit est d'emballer ses affaires et de partir chez son prof. Personne ne pourrait lui en empêcher, car ses mêmes personnes étaient mortes à l'heure actuelle.
Arrivé chez lui, elle ne prit même pas la peine de frapper à la porte et entra dans son appartement. Tout d'abord, elle l'appela. N'aillant aucune réponse, elle fouilla chacune des pièces et le retrouva coucher dans son lit, le teint pâle comme la neige. Elle crut son Coeur s'arrêter. Aussitôt, elle sauta sur le lit et le serra contre elle. Ils échangèrent quelques mots, quelque baiser. Ils restèrent ensemble jusqu'à ce qu'il finisse par pousser son dernier soupir. Ce fut très rapide, trop rapide ! Pour elle se fut un gros choc, elle ne pouvait rester là et décidait donc de partir.
Behind the screen
Max, 30 ans, informaticien. Je vie au Québec. Mes loisirs sont : les jeux video, les mangas et la culture japonaise en général. J'ai repérer votre forum il y a deux mois de ça sur Nano.Roleplay et je me suis toujours dit que je devrais m'y inscrire un jour. Au plaisir de passer du temps de qualiter avec vous oxox.