| | | Dim 1 Mai - 2:57 Invité Chad ReedThe Sound of Silence - Theme SongAvatar : Réalisé par Skaemp - Trafalgar Law Le Clebs : Wolf's Rain .:Kiba vs. Tsume:. par WhiteSpiritWolf Prénom : Chad Nom : Reed Surnom : Ghost Age : 23 ans Sexe : Masculin Groupe : Adultes Traits de caractèreQualités : adroit - combatif - constant - direct - énergique - libre - naturel - persévérant - respectueux - sûr de soi Défauts : agressif - entêté - dominant - jaloux - grossier - mélancolique - nonchalant - orgueilleux - provocateur - touche à tout Aime : la cigarette - la musique - les chiens - les Dr Martens - le second souffle - les étoiles - les noisettes - les noyaux de cerises - les petits seins - les shift-punch Déteste : l’incertitude - le caramel - le manque de nicotine - les charentaises - les énigmes - les intellos - les rideaux - le silence - les oiseaux - les undercuts Histoire/!\ Attention, certains passages de cette histoire sont très explicites, autant dans le domaine de la violence que de la sexualité. Ames sensibles, s’abstenir et en rester au résumé édulcoré ci-dessous : - En résumé, il y a écrit:
- Chad est l'un des "miraculés", l'un de ses adultes qui n'a pas été touché par le virus. Il pense être immunisé, sinon pourquoi serait-il toujours là ? Il vit caché avec d'autres adultes et son chien, Le Clebs.
A tout juste 23 ans, l'ancien éducateur sportif est maintenant un survivant. Il s'est déjà demandé comment on pouvait avoir peur d'enfants si inoffensifs, mais ce n’est plus le cas, maintenant. Il a vu ce que les enfants faisaient aux adultes qu'ils trouvaient, et il a peur. Avant le virus, ses amis le surnommait "Ghost" à cause de sa pâleur, ce surnom est resté, devenant son prénom de guerre comme il s'amuse à le dire. - Histoire développée:
Chad tira une longue taffe de sa cigarette. D’un coup d’oeil habitué, il jeta un oeil à ce qu’il restait, qu’il quantifia comme à son habitude en nombre de lattes. Trois. C’était sa dernière. Quelle horreur. Il garda la fumée un long moment dans ses poumons, histoire de profiter de chaque milligramme de nicotine et de finir de bousiller ce qui lui sert d’organes respiratoires, avant de la recracher avec un mouvement de la tête en arrière qui vient se caler contre le mur décrépi qui soutenait également son dos. Il regarda les volutes de fumée monter entre les poutres délabrées de son abri de fortune, comme autant de dessins abstraits dont l’écho artistique ne le touchait que du bout du doigt. Il préférait la musique. Il avait toujours préféré la musique. Les notes piquantes et rapides s’élevèrent dans l’air. Une voix masculine qui murmure “Dead Inside”. Assis dans sa piaule, ou plutôt affalé sur son lit double avec son meilleur pote, Raph, son premier joint. La fenêtre grande ouverte, leurs rires qui se mélangeaient avant d’envahir la rue. Sous prétexte de ramener le nouvel album de Muse sorti le jour même, il lui avait ramené sa dernière trouvaille, loin d’être de la musique. La brûlure fraîche et acide dans sa gorge. La musique électrique, électrisante, il ne l’avait pas trouvé particulièrement sympa, à la première écoute. Mais bon, pour Muse, il pouvait s’efforcer de lui offrir une deuxième écoute. Après la brûlure, la sensation de grisement, le léger tournis qui avait pris ses sens. Chad ne se souvenait même plus de quoi ils avaient parlé ce jour-là. Des filles, de la musique, de la prochaine soirée, de conneries. Ils étaient cons, mais c’était bon.
Secouant sa tête, il fit relever celle du Clebs étendu à ses côtés. Avec un sourire triste, un léger rire qui ressemblait plutôt à un soupir, ses doigts glissèrent sur sa tête en une caresse distraite. Sans y penser, il prit une oreille entre ses doigts et la massa gentiment, lissant la fourrure éparse de l’intérieur. Il détestait ces accès mélancoliques qui le prenait comme ça. D’un effort de volonté, il tenta de s’en extraire, mais n’arrivant au final qu’à s’enfoncer un peu plus dans les sables mouvants de ses souvenirs. Des conneries, ils en avaient fait, Raph et lui. Sa majorité, son premier tatouage, celui sur les doigts de sa main gauche, cinq lettres écrite en capitale : D-E-A-T-H. Cinq lettres qui faisait écho à son surnom déjà bien ancré à l’époque, Ghost. Ils s’en étaient tellement amusés. Ironie du sort. Tatouages, grandissant sur sa peau au cours des années, comme un serpent d’encre noir et rejet de la mélanine que son corps ne voulait synthétiser autrement. La douleur aiguë de l’aiguille qui parcourait son corps, pénétrant sa peau. La douleur du changement. Les critiques taquines sur sa potentielle homosexualité du à la redondance de la forme du coeur sur ses épaules et sur son torse. Bien sûr, Raph s’y joignait joyeusement, bien qu’il en connaisse la raison. Les dents serrées, sur la table matelassée et plastifiée du magasin. Le coeur, symbole de l’amour, oui. Symbole de la faiblesse, peut-être. De l’empathie et de l’humanité. Pour qu’il n’oublie jamais d’endiguer la colère qui grondait dans son ventre, enfermée dans la cage de ses côtes, prête à se déverser, tranchante et volontairement blessante, par ses lèvres.
Ghost, puisqu’il avait fini par s’appeler lui-même ainsi, prit son avant-avant-dernière bouffée de tabac. Un compte à rebours lent, pas tout à fait en secondes, pas tout à fait en minutes. Il ne savait pas quand il pourrait fumer à nouveau, et il détestait ça. La cigarette faisait partie des rares choses qui le faisait encore tenir dans ce monde de merde. Si ce n’est la seule chose. Non. Il y avait le Clebs aussi. Ce qui se rapprochait le plus d’un ami pour lui. Avant que tous les autres meurent. Des morts de la grippe dans son entourage, il y en avait eu des dizaines et des dizaines. Comme une roulette russe où on aurait oublié d’enlever des balles. A ton tour. Paf. Mort. A toi. Paf. Mort. Comme un doigt tremblant sur la gâchette d’un pistolet, la plupart mourrait dans des spasmes atroces, la souffrance inscrite sur leur visage. Sa santé mentale en déclin. Il avait été épargné des derniers instants de beaucoup. Ses parents étaient morts avant qu’il ait pu revenir chez eux leur dire au revoir. Souvenirs apaisés et joyeux exempt des traces de la douleur enlevant toute dignité. Une seule mort ne lui avait pas été épargnée. Marie.
Chad serra les dents. Un coup sourd dans sa poitrine, celui du souvenir de la souffrance, lui avait coupé le souffle. Sa gorge lui faisait mal, chaque respiration était un supplice. Pourtant, ne pas pleurer. Ses yeux embués, le Clebs qui poussait sa jambe de sa truffe humide. Il allait se lever, frapper dans un mur de toutes ces forces pour évacuer cette déprime inutile. Ces souvenirs pesants. Détruire à coups de poings dans le plâtre toute cette tristesse écoeurante. Mais il ne pouvait plus respirer. Elle était belle comme le jour et il n’avait jamais été un grand poète. Chaque détail avec une précision incroyable. La courbe de sa mâchoire sous ses doigts. Ils s’étaient rencontrés quatre ans auparavant, au cours d’une soirée. Un coup d’un soir, pour Chad, et puis, ça avait dériver. La pointe seyante de son téton excité sous sa langue. Il ne regrettait rien, il l’aimait. Il l’aimait comme un fou, au point de tourner les phrases de ses pensées comme un poète raté violerait la langue française. Peau contre peau, lui en elle, sans être sûr si c’était lui qui la prenait ou elle qui le prenait, la sueur et la salive qui se mélangeaient dans une fusion du corps et de l’esprit. Trois années de bonheur intense. Ils allaient même fêter leur quatrième anniversaire, c’est dire. Il pensait même à la demander en mariage. Les doux gémissements qu’elle chuchotait à son oreille, pour lui seul, parce qu’ils étaient seuls au monde. Il n’aura jamais acheté la bague de fiançailles. Il n’aura jamais à s’agenouiller devant elle, voir ses yeux brillants d’émotion et d’amour. A peine avaient-ils fini, elle s’était tourné vers le bord du lit pour vider son estomac. Il avait pâli, autant que son teint le permettait. Le pire, c’était le visage d’excuse qu’elle avait tourné vers lui. Elle savait depuis longtemps. “Je voulais juste une dernière fois avec toi.”
La grippe avait été découverte depuis longtemps, sa mortalité établie. Mais Marie et lui avaient cru être épargnés. Le temps passait et ni l’un ni l’autre n’avait les symptômes, ni n’était mort sans en déclarer aucun, d’ailleurs. Cette saloperie de grippe. Ce putain de nom que les scientifiques lui avaient donné dont il ne se rappelait même pas parce, merde, ça sert à rien de nommer des trucs juste pour les nommer. Ils avaient rien trouvé, ces connards. Ils ne l’avaient pas sauvée. Quelle belle bande d’enfoirés. Bac+12 et incapables de soigner une putain de grippe ! Les larmes étaient là, dans les yeux de Ghost. Il pria que personne ne le surprenne maintenant. La nausée violente qui lui avait tordue les boyaux. Il avait vomi également. Le goût âpre des restes d’un dîner trop vite expédié pour les choses les plus intéressantes de la soirée. A ce moment, il était certain d’avoir été infecté lui aussi. Il ne lui en voulait pas, bien au contraire. Elle lui offrait l’opportunité de ne pas avoir à supporter sa mort et son absence qui s’en suivrait. L’estomac retourné, le coeur au bord des lèvres, ce n’était que de la peur, au final. La peur de mourir, la peur de souffrir, la peur de l’inconnu. Ça n’avait duré que quelques jours. Autant pour elle que pour lui. Mais elle ne s’en était pas relevée. Ses yeux cernés par la fatigue et la maladie. Sa faiblesse des derniers instants. Il avait survécu. Survécu, c’est le mot exact. Dévasté, il n’avait plus quitter la chambre à coucher durant des mois. L’odeur de renfermé qui ne sentait même plus. Le vague sentiment de faim qui ne lui suffisait pas à sortir. Ils étaient jeunes et invincibles, merde ! L’obscurité et la lenteur excessive des journées, seulement entrecoupées par les visites préoccupées de Raph. Il n’arrivait même pas à se raccrocher à lui. Ses mains, ses bras, pourtant formés à la boxe, dont la force était plutôt bien développées, n’arrivaient qu’à peine à le maintenir en vie. Elle était morte. Pourquoi elle et non lui ? Pourquoi ?
Il n’était pas quelqu’un de bien, c’est clair. Il avait déjà frappé d’autres gars sous l’emprise de l’alcool, des bastons qui lui avaient valu bien plus qu’un oeil au beurre noir et une soirée en garde à vue. Il taisait sa conscience en se répétant que c’étaient tous des pauvres types, des connards, mais au fond, il savait que c’était pas tout à fait vrai, qu’il les avait frappé aussi parce qu’il aimait ça. La chair qui défonce la chair. La sueur qui perle sur le front jusqu’à couler dans les yeux, brouillant la vue, jusqu’à couler le long de l’arrête de son nez, jusqu’à goutter sur ses gants levés, en posture de défense. La clameur des combats. La tension dans l’air, le temps qui s’arrête. Plus rien n’existe que ces cris galvanisants et son adversaire. Son adversaire qui n’est même plus humain. Il n’est que gestes, attaques, contre-attaques et défenses. Il n’est plus que position des pieds, des mains, du corps. Il n’est plus que points faibles à atteindre, coups à contrer. Il savait et il aimait se battre. Depuis qu’il était gosse, en fait. Il avait toujours été de la mauvaise graine, prêt à donner des droites et à se débattre comme un chien enragé. Et même si une sale blessure à l’épaule avait interrompu sa perspective d’une carrière professionnelle avant même d’avoir pu imaginer en avoir une, il était resté. Il avait pris le chemin que prennent tous les athlètes ratés : il était devenu prof de boxe. Observé un combat, sentiment différent. Les deux opposants vus dans leur ensemble, comme deux corps mais également deux esprits. Sa profession lui avait permis de s’améliorer. Partager son temps entre enseigner et s’entraîner avait permis à la fois de développer son sens du contact et de libérer son agressivité.Il savait se battre. Alors pourquoi ce jour-là, il n’avait rien ? Il pleuvait, tout s’était passé trop vite. La belle excuse. Pourquoi avait-il accepté de sortir ? Raph était venu le voir dans son trou dégueulasse et puant, il l’avait sorti. Il ne l’avait pas prévenu. S’il avait su, putain. Qu’est-ce qui lui avait pris ? Ils se baladaient dans la ville, éclairés par les lampadaires. Un groupe d’enfants. Le son du silence de leurs pas frénétiques. Une pluie de petits éclairs métalliques entre les gouttes d’eau. Un hurlement qui déchire la furtivité des assaillants en un assaut grossier. Le sang qui coule des trous artificiels créés dans son corps. Le corps de son meilleur pote. Pas de dernier mot inspirant, plein de philosophie, juste un gargouillis étranglé par les flots de fluide corporel qui emplissait sa gorge, comme une putain qui sait pas avaler. Juste des yeux terrorisés, qui le fixaient même après que son coeur fut mis au chômage technique. Juste une main ensanglantée qui se tends vers lui, déjà tétanisé par les voiles de la mort. Death.
Le jeune homme lâcha un glapissement ridicule, envoyant valser le filtre de sa clope cramée, dans un chapelet d’injures fleuries. Il venait de perdre deux taffes, putain de bordel de merde. Enculés de gosses, c’était à cause tout ce merdier. Mais comment on pouvait se battre contre des gosses effrayés ? Physiquement, y’avait aucun doute, il les auraient tous rétamés. Mais c’était des gosses. Certains même pas en âge d’aligner une putain de phrase complète. Des gosses comme il en avait vu des dizaines durant ses cours d’initiation, riant, souriant, donnant des coups dignes d’un moineau les premiers jours, jusqu’à foutre des beignes qui auraient renversé un adulte. Des gosses qui devaient avoir vu crever leurs parents, leurs proches. Des gosses qui ne connaissaient que la peur et la violence. Alors, il avait fui, avec ses grandes jambes de sportif qui le mirent rapidement hors d’atteinte de la horde désorganisée d’enfants. Et il ne s’était plus jamais arrêté. TatouagesTatouages (détail : main gauche)Behind the screenBien le bonjour à tous ! Naviguant dans l’univers du jeu de rôle depuis maintenant… Pfiou, bien dix ans, j’ai touché un peu à tous les supports, du forum au MMORPG en passant par le jeu sur table, et j’ai également beaucoup de pseudos qui se raccroche à moi. Donc autant m’appeler Ghost, ou si même ça c’est trop long pour vous, j’ai plus court : Ji. Oui, comme la lettre. Habitant dans la campagne d’Île-de-France (sisi, ça existe !), j’ai aujourd’hui vingt-deux ans. J’écris de la fiction depuis que je sais ce que c’est, et depuis quelques années je me suis mis à la philosophie bien que ma formation initiale soit plutôt scientifique (vive les maths !). Ne me lancez jamais au défi de vous faire un essai philosophique, j’en suis capable. Candidature au post de modérateurComme je viens juste de m’inscrire, je ne sais pas si ce sera possible immédiatement (ou dès la validation de ma fiche), mais un poste de modérateur m’intéresse plutôt ! Le contexte du forum m’inspire beaucoup, son design est vraiment très soigné*, je serais ravi de pouvoir participer activement à son développement ! A noter que je travaille principalement le soir, donc je ne serais pas forcément très disponible aux horaires “habituels” en soirée, s’il y a besoin de faire de la modération sur le chat par exemple, mais pour le reste, j’ai tout de même beaucoup de temps libre à consacrer à un tel projet. Pour la maturité, l’orthographe et l’imagination, j’espère que ma fiche parle d’elle-même, de plus, j’ai quelques connaissances (basiques et autodidactes, certes) en HTML/CSS, bien que je sois de base plus attiré par des langages de programmation en tant que tel (principalement C et Java, le dernier étant le sujet principal de mes études actuelles). Pour l’humour, eh bien… Qu’est-ce qui est petit, jaune et carré ? - Réponse:
Un petit carré jaune.
Qu’est-ce qui fait rire un rôliste ? - Réponse:
Une blague. Ce qui est bien, c’est que ça marche avec tout !
Si vous avez plus de questions sur ma motivation ou autre, n’hésitez pas à me contacter par mp ! *Une seule chose m’a fait tiquer, c’est la couleur des liens non-survolés/non-consultés. Ils sont très peu lisibles sur le fond des messages de base du forum (l’espèce de gris clair) et carrément invisible dans l’encadré “Bienvenue à” en bas du forum (sur la même ligne que le “Qui est en ligne ?”). |
| | | | Dim 1 Mai - 3:06 Invité Encore bienvenue, encore moi et encore... Quelle magnifique prestance que possèdent tes phrases ! Quelles blagues de nuls... Et c'est pour cette raison que j'en ai rie ! Au plaisir de te lire davantage c: |
| | | Citation : La gamine a tué sa mère à contrecœur car celle-ci était infectée par le virus, Eden a eu peur de l'attraper à son tour si elle ne faisait rien. Elle a rejoint les zonards après que son meilleur ami ai disparu sans un mot. Maintenant, elle cache au maximum sa féminité car les enfants sont bêtes et pour eux les filles sont faibles, mais Eden est forte et elle leur a déjà prouvé.
Groupe : Zonards
Messages : 195
| Dim 1 Mai - 8:50 Eden Attly Hoy ! Bienvenue parmi nous ! Chouette tu vas jouer un adulte J'aime vraiment beaucoup ce que tu as fait de ce prédéfini écrit à l'arrache (je m'en excuse d'avance d'ailleurs) en tout cas c'est chouette qu'il t'ait autant inspiré et j'adore ta façon d'écrire, et je te remercie pour avoir mis l'avertissement quant à l'histoire de ton perso pour les éventuels membres qui n'aurait pas voulu tomber sur quelque chose avec ces choses là ! Le résumé édulcoré est sympathique mais moi c'est l'autre que je veux lire en entier mouahahaha C'est sympa la philo et je te rejoins sur ce que tu dis étant moi même une scientifique aha ! Sinon pour le post de modérateur, je vais en discuter avec moi même et nous t'enverrons un petit mp avec notre décision finale sous peu. (Parce que c'est vrai qu'un cerveau supplémentaire ce serait cool). Bref, bon courage pour la fin de ta fiche, j'ai hâte de lire la suite |
| | | | Dim 1 Mai - 8:51 Invité Bienvienduuuue parmi nouuuuus ♥ J'aime beaucoup ton choix de prédéfini ♥ |
| | | | Dim 1 Mai - 14:38 Invité Je vous remercie tous pour vos messages d'accueil, ça fait chaud au coeur !
Fiche terminée, par ailleurs, bonne lecture à vous ! |
| | | Citation : citation
Messages : 532
| Dim 1 Mai - 17:12 Admin Bienvenue parmi nous !Bienvenue parmi nous grand Chad. Ton histoire et ta façon d'écrire m'ont fait vibrer, je dois dire que j'aime énormément ce que tu as fait et la façon dont tu t'es approprié ce petit personnage ! J'aime vraiment beaucoup le résultat final. J'ai hâte de voir ce que tu vas donner en RP héhé ! Sinon pour ta candidature, je t'envoie un mp juste après t'avoir mis dans ton groupe Tu peux te lancer dans l'aventureTa fiche est validée, tu obtiens donc 10 points, comme tu fais parti des 20 premiers membres inscrits tu obtiens 50 points supplémentaires. Tu démarres donc l'aventure avec 60 points ! Tu peux donc créer ta fiche de lien ainsi que ton espace personnel. N'oublie pas d'ouvrir ton topic de défi. Tu peux aussi jeter un oeil au concours du mois. N'oublie pas de faire un tour dans le quartier général de ta faction. Et surtout, bonne chance dans cette aventure. |
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